Ces études attirent de nombreux étudiants étrangers francophones attirés par le métier de vétérinaire et souvent gênés dans leur parcours par les modalités d’accès limité en France sur dossier et/ou sur concours. Cependant, il ne faut pas négliger qu’elles reposent sur des connaissances scientifiques approfondies, nécessaires à maîtriser pour y réussir. S’agissant d’une filière à quotas pour les non-résidents belges, réussir à passer le barrage du tirage au sort est nécessaire mais n’est donc pas une fin en soi. Une fois intégré, un travail important est à fournir afin de réussir les examens dans les matières suivies. Après leurs études, certains vétérinaires s’intéressent aux techniques de soins alternatives (ostéopathie, kinésithérapie, acuponcture, homéopathie…). La filière « ostéopathie animale » peut aussi faire l’objet d’études sous forme d’un bachelier de type court en 3 années.
| Universités en sciences vétérinaires | Nombre de places en 2023 Non Résidents belges | Nombre de dossiers déposés | Chances d’intégration 1ère A | Nbre de places concours 1ère A pour les NR |
|---|---|---|---|---|
| ULg (Liège) | 43 | 275 | 15,6% | NC |
| UCL (Louvain) | 29 | 115 | 25,2% | NC |
| ULB (Bruxelles) | 24 | 120 | 20% | 8 |
| U-Namur | 50 | 152 | 32,8% | 18 |