Au cœur de l’Europe, 340 établissements d’enseignement supérieur ouvrent grand leurs portes aux étudiants étrangers. Le choix peut s’avérer difficile entre la vie culturelle trépidante des grandes villes étudiantes (Berlin, Heidelberg, Munich, Dresde…) cosmopolites, qui attirent beaucoup d’étudiants et les villes de taille plus modeste qui offrent aussi de bonnes opportunités et où l’intégration est parfois plus facile.
Directement auprès des établissements
Centralisée pour certaines filières
Pas de frais de scolarité
https://studienwahl.de
Généralement de la fin du mois de mai au 15 juillet
Depuis longtemps sensible aux questions d’environnement, l’Allemagne a développé des cursus d’études dans les énergies renouvelables et la protection de l’environnement. Les études de chimie et les cursus en biotechnologies ont aussi bonne réputation. Les formations en Fachhochschule, pour leur orientation fortement spécialisée et leur stage pratique en entreprise, sont très attirantes et de nombreuses écoles proposent des cursus bilingues en allemand et en anglais. Les formations par alternance sont très répandues dans ce pays, elles sont intéressantes à condition de maîtriser parfaitement la langue de Goethe. Sans oublier les cursus intégrés de l’Université franco allemande qui permettent d’obtenir des double-diplômes français et allemands.
L’Allemagne favorise les filières d’excellence à l’Université : publication annuelle du classement des établissements par filière. Consulter aussi les enquêtes plus générales sur l’éducation.
Replay de la visioconférence du 19 novembre 2020 réalisée par le réseau Euroguidance en partenariat avec l’Université de Strasbourg et le témoignages de jeunes partis étudier en Allemagne
L’étudiant qui veut faire des études supérieures en Allemagne a le choix entre les Universités, les Universités techniques, les Fachhochschulen (Hochschule für angewandte Wissenschaften), les Écoles supérieures des beaux-arts et les Écoles supérieures de musique. Les établissements sont pour la plupart d’entre eux publics, financés par les Länder. Les Écoles supérieures ecclésiastiques catholiques et protestantes ont d’autres financements. Un petit nombre d’Universités privées sont payantes. Le système d’enseignement supérieur allemand a adopté l’architecture européenne pour l’enseignement supérieur et les intitulés des diplômes délivrés sont Bachelor, Master, Doktorat.
Les études supérieures sont organisées en semestres. Le semestre d’hiver commence généralement en septembre – octobre et le semestre d’été, en mars – avril. Les études sont d’une durée théorique de 8 à 12 semestres.
Pour trouver un établissement d’enseignement supérieur en Allemagne : www.hochschulkompass.de Pour découvrir les établissements d’enseignement supérieur en France ayant noué des partenariats privilégiés avec des établissements allemands : www.allemand-postbac.fr/accueil, rubrique « formations ».
L’éventail des disciplines est très large : médecine, sciences naturelles, sciences humaines, droit, sciences économiques et sociales, sciences de l’ingénieur (en Allemagne, il n’y a pas d’écoles d’ingénieurs). Les Universités ne sont pas seulement des centres de formation, mais aussi des centres qui se consacrent de façon indépendante, à la recherche fondamentale et à la recherche appliquée. Elles délivrent des diplômes jusqu’au Doctorat, mais n’assurent pas de formations courtes. Ce sont les seules institutions à pouvoir attribuer à ceux qui se destinent à l’enseignement supérieur, le Doctorat d’Etat ou l’habilitation (Habilitationsrecht). Les filières d’études dans l’enseignement supérieur débouchent sur les diplômes internationalement reconnus, le Bachelor ou Bakkalaureus et le Master.
Le Staatsexamen (examen d’État) est le titre requis pour les cadres de la fonction publique et pour certaines professions réglementées (juristes, enseignants, médecins, pharmaciens…). Cet examen se passe en deux séries d’épreuves, séparées par une phase de formation pratique allant jusqu’à deux ans. L’État ou les Länder fixent les règlements d’études respectifs.
L’accès au Doctorat ou Promotion se fait après le Master ou le Staatsexamen. Les diplômes ou titres de fin d’études supérieures obtenus à l’étranger peuvent être reconnus comme donnant droit à entreprendre des études de Doctorat mais sous conditions (passage d’un examen de contrôle de connaissance, cours complémentaires…). Pour encadrer le travail, il faudra trouver un Directeur de thèse (Doktorvater, Doktormutter) qui soit proposera un thème pour la thèse, soit acceptera le thème qui lui sera soumis. Attention, même en ayant satisfait à toutes les autres conditions requises, aucun professeur n’est tenu d’assurer le suivi d’une thèse. La préparation de la thèse (Dissertation) peut prendre entre 3 et 5 ans et se termine par une soutenance finale (Rigorosum).
Les établissements d’enseignement supérieur peuvent également proposer des cursus d’études approfondies (Aufbaustudiengänge) qui sont des formations très pointues d’une durée de 2 à 4 semestres, réservées à des étudiants ayant déjà obtenu un premier diplôme d’enseignement supérieur. Particulièrement intéressantes pour les étudiants étrangers, ces études sont souvent dispensées en anglais.
Les programmes d’études des universités de sciences appliquées sont très axés sur la pratique. L’accent est mis davantage sur la pratique professionnelle que sur la théorie. Les cours sont adaptés aux exigences professionnelles. Comme dans les autres universités, le premier diplôme obtenu est un bachelor et le second un master. Les domaines proposés comprennent la technologie, les affaires, le travail social, l’agriculture, les arts appliqués…
Certains cursus comportent des périodes fixes pendant lesquelles vous effectuez des stages ou des projets dans des entreprises en Allemagne ou à l’étranger. Ces stages ou projets peuvent durer d’un semestre à plusieurs semestres, en fonction du programme d’études. Quelques établissements d’enseignement supérieur spécialisé proposent des études de doctorat.
Plusieurs proposent des cursus bilingues en allemand et en anglais.
Les écoles d’art, de cinéma et de musique proposent des cursus créatifs tels que la musique, l’architecture, les beaux-arts, l’art dramatique, la danse, le design industriel et le stylisme. Les réalisateurs, caméramans, scénaristes et autres professions du cinéma et de la télévision sont enseignés dans les universités des nouveaux médias. A l’heure actuelle, les Écoles supérieures des beaux-arts sont toutes financées par l’État et placées sous son autorité. Elles relèvent donc de la compétence des Länder.
Les compétences artistiques, l’esprit créatif et l’expression personnelle étant importants pour ces cursus d’études, on demandera d’attester de certaines compétences à l’entrée de ces établissements
La durée des études varie, 3, 4 ou 5 ans selon le diplôme préparé. A la fin des études on obtient, un Diplom, un Bachelor, un Master ou un certificat spécifique de l’école.
La plupart des cours des écoles d’art, de cinéma et de musique sont dispensés en allemand.
Attention ! Les matières histoire de l’art, musicologie et histoire de la musique sont enseignées dans les Universités et les Fachhochschulen. Il en est de même avec les études en architecture, à l’exception de quelques cursus d’études approfondies s’adressant aux diplômés en architecture.
Ce sont elles qui assurent, dans certains Länder comme le Bade-Württemberg et en partie la Thuringe, la formation des enseignants appelés à exercer dans les écoles primaires, les établissements d’enseignement secondaire de 1er cycle, les écoles spécialisées. Renseignements sur ces diverses écoles.
Un programme d’études en alternance permet d’associer encore plus étroitement les études universitaires aux ambitions professionnelles que les programmes d’études conventionnels proposés par les hautes écoles spécialisées. Une bonne maîtrise de l’allemand est nécessaire. Ces programmes sont principalement proposés par les hautes écoles spécialisées et les académies professionnelles (Berufsakademien). Mais quelques autres universités proposent également des programmes d’études en alternance. Il est nécessaire de signer au préalable un contrat avec une entreprise qui rémunère généralement l’alternant et prend en charge les frais d’études.
Pour trouver un employeur avant d’entrer en formation, s’adresser à l’Agence pour l’emploi allemande.
Un programme d’études en alternance permet d’associer encore plus étroitement les études universitaires aux ambitions professionnelles que les programmes d’études conventionnels proposés par les hautes écoles spécialisées. Une bonne maîtrise de l’allemand est nécessaire. Ces programmes sont principalement proposés par les hautes écoles spécialisées et les académies professionnelles (Berufsakademien). Mais quelques autres universités proposent également des programmes d’études en alternance. Il est nécessaire de signer au préalable un contrat avec une entreprise qui rémunère généralement l’alternant et prend en charge les frais d’études.
Pour trouver un employeur avant d’entrer en formation, s’adresser à l’Agence pour l’emploi allemande.

Les dates limites d’inscription dans les universités sont en général le 15 janvier pour le semestre d’hiver et le 15 juillet pour le semestre d’été (ces dates sont susceptible de varier).
Le Baccalauréat français donne l’accès aux établissements d’enseignement supérieur allemands dans les mêmes conditions que pour les étudiants allemands. Il faut demander un formulaire d’admission (Antrag auf Zulassung zum Studium/auf Immatrikulation) à l’établissement allemand dans lequel on souhaite s’inscrire. Se renseigner sur le mode de recrutement précis de l’établissement.
Trois cas peuvent se présenter :
Un service a été mis en place pour aider les étudiants étrangers à déposer les candidatures auprès des Universités « Uni-Assist » (ce service est payant, tarifs sur le site).
Il existe, un cadre général de reconnaissance académique des diplômes français et allemands délivrés par les Universités. Attention ! Cette reconnaissance ne s‘applique pas automatiquement, chaque Université restant souveraine dans sa décision. Les BTS et les BUT ne sont pas inscrits dans ce cadre de référence. C’est à l’étudiant de faire valoir son diplôme avec ses contenus et les résultats obtenus. Pour ces deux diplômes, une reconnaissance partielle sera peut-être accordée plus facilement en Fachhochschule, elle le sera très rarement à l’Université. D’une manière générale pour la reconnaissance des cursus, les établissements demanderont le plus souvent des copies de documents officiels (diplômes, relevés de notes…) traduits en allemand par un traducteur assermenté.
Dans une majorité de cas, la langue d’enseignement est l’allemand. Il faudra donc prouver sa maîtrise de la langue de Goethe pour accéder à l’enseignement supérieur allemand. Ceci à travers un examen, le DSH (Deutsche Sprachprüfung für den Hochschulzugang ausländischer Studienbewerber) organisé par l‘Université. Des dispenses sont possibles, notamment si l’on a obtenu en France certains diplômes de l’Institut Goethe. Les titulaires d’un Abi-bac et du test DaF (Test d’allemand langue étrangère) sont également dispensés du contrôle linguistique. Le Test DaF peut se préparer en France ou en Allemagne.
Il existe à présent de nombreux cursus en anglais (undergraduate, graduate and postgraduate degree programmes). On demandera alors d’attester des connaissances en langue anglaise : diplôme de l’Université de Cambridge ou TOEFL. Les cursus internationaux et certains cursus d’approfondissement n’exigent aucune justification de connaissance de l’allemand.
En Allemagne, l’alternance occupe une place centrale dans la formation professionnelle. De nombreux cursus associent théorie et pratique en entreprise, offrant des débouchés variés et une reconnaissance solide sur le marché du travail.
Une porte d’entrée vers les études en Europe, avec des fiches par domaine — médecine, ingénierie, vétérinaire, kinésithérapie, etc. — détaillant durée, conditions d’accès et spécificités par pays.
Les programmes franco-allemands, portés notamment par l’OFAJ et ProTandem, encouragent la mobilité des jeunes à travers des échanges, stages, formations professionnelles et actions linguistiques entre les deux pays.
Les Universités publiques allemandes ne prélèvent pas de droits de scolarité, les étudiants payent les frais administratifs. Il existe des exceptions. D’autres dépenses, directement en rapport avec les études, sont énumérées ci-dessous :
Elles sont plus faciles à obtenir si l’on a déjà effectué un parcours universitaire.
Il est possible de demander à garder sa bourse française pour effectuer une partie de ses études en Allemagne. Pour pouvoir l’obtenir, les étudiants doivent intégrer un établissement homologué et répondre à certains critères sociaux. Ils déposent un dossier social étudiant auprès du CROUS ou peuvent demander la bourse de mobilité du Ministère de l’Éducation Nationale.
En dehors des bourses françaises, le DAAD fournit le plus important programme de bourses en Allemagne. Sur le site de la représentation parisienne du DAAD, on trouve une liste de bourses attribuées par d’autres organisations ou fondations.
Certaines bourses sont octroyées par l’Office franco-allemand pour la jeunesse (OFAJ).
Dans le cadre des programmes de l’Université franco-allemande, des bourses peuvent aussi être attribuées.
Possibilités de financement d’une période d’études ou de stage dans le cadre du programme européen Erasmus +, s’adresser aux Services des relations internationales de l’établissement fréquenté en France.
Il est toujours possible de s’adresser aux collectivités territoriales (commune, département, région) afin de solliciter une aide. Certaines soutiennent les étudiants en mobilité.
Informations et démarches pour faire reconnaître un diplôme obtenu en France ou à l’étranger, ainsi que les dispositifs européens comme la carte professionnelle européenne.
Un aperçu des principales aides financières à la mobilité européenne, classées par région et par statut — élèves, étudiants, apprentis, demandeurs d’emploi, salariés ou bénévoles.
En Allemagne, le niveau de vie est élevé, quoique le coût de la vie soit légèrement moins cher qu’en France.
Par mois, il faut compter en moyenne 1.150€ de budget correspondant aux frais d’inscription semestriels, les frais courants -logement, alimentation, loisirs, forfaits de communication, livres, vêtements- l’assurance santé et les frais de scolarité.
Les prix dans les grandes villes comme Cologne, Munich, Hambourg, Stuttgart et Frankfurt-am-Main sont plus élevés, y compris pour les loyers. S’installer dans une petite ville est plus économique. Il faut savoir que les trains à grande vitesse sont nombreux et permettent de relier les grands centres entre eux facilement.
Les services d’accueil des étudiants étrangers (Akademisches Auslandsamt), les Centres des œuvres universitaires (Studentenwerke) et l’ASTA (organe représentant les étudiants) peuvent aider dans la recherche d’un logement. Il faut compter, en moyenne, pour l’hébergement : 250 € pour une chambre en cité universitaire, entre 400 et 700€ pour une chambre en colocation (Wohngemeinschaften) en fonction de la ville (plus de 30% des étudiants choisissent la colocation) et à partir de 500 € pour un studio (mais prévoir plus entre 800 et 1000€ dans les grandes villes comme Berlin et Francfort, surtout en centre-ville!).
Attention ! Faire sa recherche le plus tôt possible, les places disponibles sont rares : student residence Halls – renseignements.
On peut rechercher des appartements et des chambres d’étudiants à louer en consultant les quotidiens (principalement l’édition du samedi), les journaux étudiants et surtout les panneaux d’affichage (Schwarzes Brett) de l’Université, des restaurants universitaires et des cafétérias. En cherchant sur Internet, indiquer les agences immobilières spécialisées (Mitwohnzentralen) pour les étudiants, à son moteur de recherche. Beaucoup d’étudiants privilégient la colocation (WG pour Wohngemeinshaft).
Deux tiers des étudiants en Allemagne, ont un petit job pour les aider à joindre les deux bouts. Les étudiants ressortissants de l’UE ont en principe le droit de travailler autant que souhaité sans autorisation spéciale. Au-delà de 20 heures par semaine, il est obligatoire de cotiser à l’assurance, tout comme les étudiants allemands. Le salaire minimal est de 12€ de l’heure au 1er octobre 2022. Une revalorisation est prévue en janvier 2024.
L’école ou l’établissement d’enseignement supérieur est un bon point de départ pour chercher un emploi. Il y a ensuite les emplois classiques tels que serveur dans les restaurants et les cafés, les foires commerciales et le baby-sitting. Le meilleur est souvent un emploi lié à sa spécialité, par exemple, ceux qui se destinent à l’enseignement peuvent devenir tuteurs, et les étudiants en histoire de l’art peuvent travailler dans des musées. La maîtrise de l’allemand est évidemment un avantage.
Pour en savoir plus :
L’assurance maladie pour un étudiant allemand coûte une centaine d’euros par mois (dépend de l’université). Tous les étudiants doivent être affiliés au régime de l’assurance-maladie jusqu’à leur 14e semestre d’études dans la discipline choisie. Cependant, ils seront couverts par ce régime jusqu’à l’âge de 30 ans maximum. Les Caisses d’assurance-maladie prennent en charge, entre autres, les frais liés aux soins médicaux, à l’hospitalisation ou à l’achat de médicaments.
Les étudiants français bénéficiant de la Sécurité sociale française – soit par rattachement à la Sécurité sociale de leurs parents, soit par leur propre inscription à la Sécurité sociale étudiante – qui se rendent en Allemagne pour une durée limitée, peuvent se faire exempter de l’obligation de souscrire une assurance maladie allemande. Pour cela, ils doivent se munir auprès de leur Centre de rattachement français, de la Carte européenne d’assurance maladie qui sert vis-à-vis de l’Université allemande, de justificatif d’une couverture sociale suffisante.
Des renseignements sur les conditions d’affiliation peuvent s’obtenir auprès du Service d’accueil des étudiants étrangers de l’établissement ou auprès de la « Allgemeine Ortskrankenkasse » (AOK) ou d’une Caisse d’assurance maladie privée.
Les diplômes de langue allemande peuvent se préparer en France dans bon nombre d’organismes :
La plupart des Universités allemandes proposent des cours spécifiques pour la préparation au DSH (Deutsche Sprachprüfung für den Hochschulzugang). Les capacités d‘accueil sont limitées et il faut déjà avoir acquis un certain niveau d‘allemand pour y participer. S’adresser directement aux établissements allemands choisis, pour connaître le nombre de places et les modalités d‘accès spécifiques. Les cours d‘été proposés par les Universités sont recensés sur le site du DAAD. Ce sont des cours d‘allemand généralistes ou à thème.
Bon nombre d’Universités proposent des cours d’une durée d’une année, permettant à des étudiants d’acquérir un niveau d’allemand équivalent à celui de l’Abitur. Il est nécessaire d’avoir au préalable de bonnes connaissances linguistiques allemandes pour être admis à ces cours puisqu’ils sont dispensés en allemand. L’année de Studienkolleg est validée par un examen appelé Feststellungsprüfung. Cet examen porte sur les disciplines que le candidat aura choisies avant le début du cours. Après cet examen on peut demander l’inscription à l’Université auprès du Service des relations internationales. Pour être admis en Studienkolleg, il faut se renseigner auprès du Bureau des relations internationales de l’Université souhaitée.
Dans toutes les villes d’une certaine importance, il est possible de suivre une formation d’allemand langue étrangère (Deutsch als Fremdsprache), qualifiante ou non, dans les Universités populaires allemandes.
Des écoles de langues privées proposent aussi des cours de langues dans toutes les villes.
Consulter la base de données de tous les organismes allemands proposant des cours de langue allemande.
Des ressources et sites utiles pour trouver un emploi, un stage, un apprentissage ou un job d’été en Allemagne, avec les services de l’Arbeitsagentur et des réseaux franco-allemands spécialisés.
Un aperçu des principaux tests d’allemand — TestDaF, DSH, Goethe-Zertifikate et WiDaF — permettant d’évaluer ou certifier son niveau linguistique selon le cadre européen, pour étudier, travailler ou s’installer en Allemagne.
Faire un stage en Allemagne permet de découvrir un environnement professionnel reconnu pour son dynamisme. De nombreux types de stages existent, encadrés par des dispositifs comme le programme Praxes de l’OFAJ.
Quels sont les classements internationaux? Comment sont-il créés ? Sont-ils des outils d’aide à la décision ?
La reconnaissance des diplômes professionnels et universitaires n’est pas automatique d’un pays à l’autre. Il peut être nécessaire de réaliser certaines démarches et de respecter certaines procédures.